L’#erepday 2014, c’est déjà fini, et comme tous les ans, cela nous aura fait réfléchir ! En notre qualité de rédactrices web depuis plusieurs années, on a forcément l’œil ouvert sur tout ce qui touche au contenu rédactionnel. Et heureusement, à l’Erepday, tout touchait au contenu ! Tout ? Oui, tout.
La performance du SEO mobile grâce au contenu
On sait tous que le contenu est le levier principal du référencement, et c’est (presque) encore plus vrai quand il s’agit de « mobile devices » comme l’ont si bien dit David et Florian de WAM Référencement. Puisque nous sommes aujourd’hui connectés en permanence, beaucoup de recherches se passent via ces supports nomades… et cela génère du business ! Il s’agit donc d’avoir un site dédié, bien conçu, qui apporte de l’info concrète et rapidement utilisable – c’est à dire du contenu bien rédigé !Merci à David Eicholtzer et Florian Karmen pour leur intervention sur le SEO mobile en 2014.
Christophe Thil, gérant de Blueboat et organisateur de l’Erepday – © Baptiste Simon
L’engagement des internautes se manifeste par le contenu
Les réseaux sociaux ne sont plus limités à Internet. Désormais, ils font partie intégrante de notre expérience télévisuelle. C’est ce qu’on appelle la Social TV. Les réseaux sociaux permettent de donner un coté interactif à un programme et de transformer les téléspectateurs en téléspect-acteurs. L’Erepday nous a donné deux exemples marquants : Julien Aubert, de Bigger Than Fiction, nous a présenté la série transmedia « Cut » sur France Ô, dans laquelle les réseaux sociaux font partie de l’intrigue. Le contenu de bonne qualité sur la page Facebook d’un des personnages principaux a permis de fidéliser un nombre impressionnant de téléspectateurs !
Nicolas Mouton nous a fait découvrir l’opération « Je Poke Les Bleus » par SFR, avec laquelle les internautes peuvent envoyer des tweets directement aux joueurs de l’équipe de France de football. Certains de ces tweets ont été retranscrits en quasi-direct à la télévision durant un match. Cela a permis de générer une excellente visibilité pour l’opérateur, tout en diffusant un contenu chargé d’émotions. La création de contenu est toujours plus audacieuse, mais son point d’ancrage reste toujours la qualité, et son objectif, la satisfaction du lecteur !
Merci à Julien Aubert, Nicolas Mouton et Michael Jovanovic pour leur participation à la table ronde sur la Social TV (animée par Damien Douani).
La réputation d’une entreprise/marque, influencée par le contenu
En effet, l’e-reputation, ça se passe avant tout entre humains. On peut utiliser des algorithmes et des statistiques pour affiner notre méthode de travail, mais il ne faut jamais oublier de mettre les internautes au centre de notre stratégie. Qu’il s’agisse de viralité ou de réputation, il y a toujours une part d’irrationnel qui entre en jeu. Cela dit, il ne suffit pas de jouer sur l’affectif pour faire de la bonne e-reputation…
Frédéric Martinet – © Baptiste Simon
La communication et la promotion d’une entreprise/marque : une question de contenu !
Les crises et la gestion de crise, encore liées au contenu
Notre orateur est également revenu sur un point qu’on ne rappellera jamais assez : l’origine d’un bad buzz, ce n’est pas seulement une maladresse commise dans sa communication, mais cela peut être aussi la mauvaise qualité du service. On en revient à la base : le fondement d’une bonne e-reputation, c’est d’abord un projet d’entreprise pertinent, qui répond aux besoins de sa cible (vous savez, ce sont ces humains qui lisent vos contenus sur le web…). Assurez-vous d’abord de la légitimité de votre marque, ensuite vous pourrez fignoler votre communication écrite et visuelle. Tout comme un projet d’entreprise, le contenu n’a de réel intérêt que s’il répond aux besoins de sa cible.
Erepday 2014 au Kinépolis – © Baptiste Simon
Les émotions et la motivation, suscitées par le contenu
Les photos sont de Baptiste Simon (> son retour sur l’Erepday).